Les amalgames dentaires, comment faire ?

La toxicité des amalgames dentaires n'est plus à prouver et transforme notre bouche en véritable danger pour la santé.

« Il est tout à fait inacceptable de continuer à insérer une substance aussi potentiellement toxique dans la bouche des citoyens, alors qu'il existe des alternatives plus sûres » déclarait Marios Matsakis avant l'interdiction en France de 2025 (rapporteur de la Commission Européenne sur l'Environnement, la Santé Publique et la Sécurité Alimentaire).

Certains pays européens avaient déjà arrêté les amalgames dentaires comme les pays nordiques bien avant la France.

Il est important de connaître la quantité d'amalgame, leur ancienneté, leur détérioration et leur toxicité selon le cas.

La dépose d'amalgame peut être envisagée et doit se faire sous certaines contraintes indispensables par des spécialistes.

Quels sont les métaux dangereux ?

Il y a 25 métaux contenus dans les amalgames mais rappelons déjà les conséquences du mercure en bouche en raison de sa neurotoxicité.

Il s'agit d'un métal hautement volatil et toxique. Sa présence est connue également dans les vaccins comme conservateur, pesticides ou dans les gros poissons comme le thon.

Lors de la pose d'amalgame, sa présence, mélangée à d'autres métaux (étain, argent. ..), va jusqu'à 50% mais représente au final 40 à 45 % suite à son évaporation. L'intoxication a donc déjà commencé. Son émanation va se poursuivre au contact des aliments et de la mastication pour rejoindre la respiration, la circulation sanguine et le cerveau via le nerf olfactif.

Le mercure aime les tissus mous : reins, glandes endocrines (hypophyse, thyroïde), sinus, cœur, foie, tissus nerveux et cerveau. Le mercure se transmet au fœtus via le sang et le lait de la mère provoquant des perturbations cérébrales. L'audition est aussi affectée.

Les dentistes sont également particulièrement victimes de l'intoxication au mercure de par leur utilisation régulière ou la dépose d'amalgame sans précaution suffisante.

Les conséquences :

Les métaux toxiques constituent un facteur aggravant de certaines pathologies ou limitent leur guérison :

  • syndrome de fatigue chronique

  • maladies neurodégénératives

  • fibromyalgie

  • autisme

  • trouble de l'attention

  • dépression

  • maladie auto-immune

  • intolérances alimentaires, candidose et allergie

  • la myofasciite à macrophages...

Comment détecter les métaux lourds ?

On peut détecter dans les amalgames d'autres métaux lourds : l'argent, l'aluminium, le béryllium (cancérigène), le cuivre, l'étain, le gallium, l'indium et le zinc principalement.

Certains examens permettent de détecter les métaux lourds : l'analyse de cheveux, l'analyse sanguine ou d'urine et le bilan Oligocheck.

Le bilan Oligocheck, est une sorte de « biopsie lumineuse » utilisant le principe de la spectrophotométrie. Il mesure les réserves tissulaires de 15 métaux lourds et permet de suivre l'évolution d'une chélation s'il y a lieu. Il renseigne sur 2 indicateurs essentiels  :

  • la présence quantitative et indique l'exposition à laquelle le la personne fait face

  • la capacité d'excrétion et d'élimination des métaux

J'utilise cet appareil tout particulièrement dans le cadre des métaux lourds et pour bien d'autres applications.

Comment enlever les amalgames ?

Il s'agit de faire appel à un dentiste habilité à la dépose d'amalgame.

Il faudra préparer le terrain et protéger le foie, les reins et les intestins très impliqués dans la détoxication.

Il faudra aussi apporter à l'organisme tous les éléments nutritifs nécessaires pour permettre au foie la phase de sulfo conjugaison permettant l'élimination de façon neutre des toxines.

La dépose d'amalgame est fortement déconseillée chez la femme enceinte ou allaitante.

Quoi faire au quotidien ?

  • Améliorer sa diététique : augmenter les acides aminés soufrés (haricots, œufs, poireaux, ail et oignons), les antioxydants, les aliments non industriels ni transformés

  • Prendre des compléments alimentaires à base de pectine, sélénium (il possède un effet protecteur contre la toxicité du mercure), acide ascorbique, cystéine, cystine, méthionine, soufre... ou des complexes adaptés

  • Un protocole de chélation encadré par un thérapeute en préventif ou curatif

  • Un suivi régulier avec l'Oligocheck (mesure tissulaire des métaux lourds)

  • Limiter les expositions au mercure et aux pollutions (eau du robinet, alimentation non biologique surtout les légumes verts et salades, poissons, exposition professionnelle ou industrielle)...



N'hésitez pas à me contacter

Belle santé à tous, Corinne

Naturopathe à Paris, Iridologue

Milta, Drainage lymphatique, plate-forme Socheck

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